Je veux aller au plus près de moi et au plus près du monde.
Claudine Monchaussé, Atelier, ESC025, monographie publiée aux Éditions Sylvain Courbois, 2022.

J’aime les sculptures de Claudine car elles me font du bien, elles me réparent.
Dans un entretien en 2018, Claudine m’avait confié : « J’ai toujours fait des pièces pour ne pas avoir à parler. »

Claudine va vers la terre pour nous permettre de redevenir sensible, pour nous
permettre d’observer un primordial que nous avons oublié. Claudine va vers le feu pour nous rappeler que nous avons un moment choisi de ne pas suivre nos instincts de survie, pour le domestiquer et c’est en autre pour cela que nous sommes devenus homme. Tout comme les statues-menhirs issues du Musée Fenaille qui seront esquissées à côté des sculptures, les oeuvres de Claudine sont pour nous des présences bienveillantes.
matali crasset

La scénographie imaginée par matali crasset met en regard les oeuvres de Claudine Monchaussé et les statues-menhirs du Musée Fenaille.

Coproduction avec Les Abattoirs, Musée - Frac Occitanie Toulouse

Avec la collaboration du Musée Fenaille de Rodez.

Les dessins des statues-menhirs ont été  réalisé par Camille Henri Clément.